Le Plein du Vide

 

 

Unité de l'œuvre : espace - temps - tuilage - mouvement - énergie

Bien que tout soit mesuré, tout est fait pour que l'auditeur ne perçoive pas de pulsation : les silences offrent une interruption du temps, les nombreux glissandi et mélismes furtifs constituent des liens subtils qui unissent certains éléments à d'autres, et les masses sonores en évolution donnent l'impression de mouvement; cette oeuvre est davantage un voyage dans des mondes sonores, ou une méditation qui se déroule dans la continuité d'un souffle né du silence et qui ne cesse d'évoluer. Il est donc difficile d'y voir une structure linéaire précise, et les anticipations ou réminiscences d'éléments sonores qui jalonnent l'œuvre lui donnent une unité :

Les mélismes furtifs et mobiles d'un pupitre à l'autre

3'37Cliquer pour écouter

6'05Cliquer pour écouter

     8'04Cliquer pour écouter

11'45Cliquer pour écouter

Les glissandi des cordes dans l'aigu

1'39Cliquer pour écouter

3'08Cliquer pour écouter

6'18Cliquer pour écouter

 8'00Cliquer pour écouter

10'22Cliquer pour écouter  

12'28Cliquer pour écouter

Les accords tenus des vents

0'57Cliquer pour écouter 1'29Cliquer pour écouter 2'47Cliquer pour écouter

8'47Cliquer pour écouter

11'02Cliquer pour écouter 11'35Cliquer pour écouter 12'41Cliquer pour écouter

Le motif récurrent des cuivres

0'00Cliquer pour écouter       2'15Cliquer pour écouter

           4'18Cliquer pour écouter 4'38Cliquer pour écouter

     

 9'37Cliquer pour écouter

     12'01Cliquer pour écouter
Les slaps ou bruits de clés joués par les bois

   3'26Cliquer pour écouter

                           8'09Cliquer pour écouter