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Le Plein du Vide |
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Unité de l'œuvre : espace - temps - tuilage - mouvement - énergie Bien que tout soit mesuré, tout est fait pour que l'auditeur ne perçoive pas de pulsation : les silences offrent une interruption du temps, les nombreux glissandi et mélismes furtifs constituent des liens subtils qui unissent certains éléments à d'autres, et les masses sonores en évolution donnent l'impression de mouvement; cette oeuvre est davantage un voyage dans des mondes sonores, ou une méditation qui se déroule dans la continuité d'un souffle né du silence et qui ne cesse d'évoluer. Il est donc difficile d'y voir une structure linéaire précise, et les anticipations ou réminiscences d'éléments sonores qui jalonnent l'œuvre lui donnent une unité : |
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